Qui gère le parc?
Fondée en 2012, la Société du parc côtier Kiskotuk est un organisme à but non lucratif qui a pour mission de voir au développement et à la gestion intégrée du parc. Elle octroie un contrat de gestion renouvelable annuellement à un organisme local pour assurer le suivi administratif et appliquer les orientations de développement et de gestion établies par son conseil d’administration composé de représentants suivants :
- Monsieur Michel Lagacé, MRC de Rivière-du-Loup
- Madame Suzanne Rhéaume, municipalité de Cacouna
- Monsieur Stéphane Lussier, municipalité de L’Isle-Verte
- Monsieur Charles Méthé, municipalité de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs
- Madame Caroline Rioux, Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk
- À déterminer, corporations de développement du secteur de Cacouna, de L’Isle-Verte ou de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs
- Monsieur Jean Pelletier, agriculteur actif à l’intérieur du parc côtier Kiskotuk
- Madame Kathy Beaulieu, propriétaires terriens à l'intérieur du parc côtier Kiskotuk
- Madame Denise Beaulieu, représentante des usagers du parc côtier Kiskotuk
Un clin d’œil historique
© S. Giroux, Parcbsl
Le parc côtier Kiskotuk est né d'une initiative de la municipalité régionale de comté (MRC) de Rivière-du-Loup de mettre en valeur et de préserver le corridor côtier des municipalités de Cacouna et de L'Isle-Verte.
En 2010, un premier mandat a été confié par la MRC à la Corporation PARC Bas-Saint-Laurent pour suggérer des orientations de mise en valeur de terres publiques sous sa gestion situées en bordure du chemin de la Rivière-des-Vases à Cacouna. Après en avoir effectué un diagnostic, l’orientation privilégiée pour sa mise en valeur est la création d’un parc régional intégré aux autres sites et aux infrastructures récréotouristiques déjà présents sur le territoire visé.
En 2011, un comité de travail réunissant divers intervenants concernés, dont la MRC, les municipalités de Cacouna et de L’Isle-Verte, la Première Nation Malécite de Viger et la Corporation PARC Bas-Saint-Laurent a été formé. Ce comité a rapidement fait progresser le projet : définition de l’image identitaire, rédaction d’un plan d’aménagement et de gestion du territoire, consultations publiques, signalisation du territoire du parc et mise en place de la structure de gestion font partie des actions mises de l’avant.
En novembre 2012, la Société du parc côtier Kiskotuk, organisme sans but lucratif mandaté pour le développement et la gestion du parc, voit officiellement le jour. L’élaboration du plan d’affaires et la recherche de financement se sont ensuite succédé pour permettre la réalisation des aménagements projetés pour améliorer les services d’accueil, de récréotourisme et d’hébergement du parc. En 2016, le réseau cyclable du parc est remis à niveau et un nouveau sentier pour la pratique du vélo de montagne et de la course en sentier est aménagé. En 2017, le camping rustique des Passereaux est érigé et la municipalité de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs (île Verte) intègre officiellement le territoire du parc. Enfin, l’année 2018 marquera l’embauche des premiers employés et l’aménagement du pavillon multiservice des Passereaux, qui deviendra le cœur de l’accueil.